Accès aux graines de coton : le satisfecit des huiliers du Burkina
VU ET ENTENDU A BOBO
Accès aux graines de coton : le satisfecit des huiliers du Burkina
Les huiliers du Burkina avaient des inquiétudes par rapport à l’accès cette année aux graines de coton, compte tenu de la baisse de la production cotonnière dans notre pays. Et ils avaient à ce sujet rencontré en fin décembre dernier Célestin Tiendrébeogo, directeur général de la Société burkinabè des fibres textiles. Qui, à l’occasion, leur avait promis de quoi faire tourner leurs huileries. Quelques mois après ce rendez-vous, les choses, de l’avis des huiliers, se passent comme prévu. Et les responsables des structures des huiliers à savoir Sékou Haidara et Mamadi Camara ont tenu lors de leur congrès du 16 février, à exprimer leur satisfecit vis-à-vis de la SOFITEX, pour le sens du respect de la parole donnée, même si certains doivent parfois aller chercher les graines de coton à des lieux éloignés de leurs bases.
30 élus locaux à l’école de la communication
Une trentaine d’élus locaux des communes rurales de la province du Houet ont bénéficié les 21, 22, et 23 février derniers à Bobo Dioulasso, d’une session de formation en communication, stratégies et plans de communication. Initiée par l’Observatoire national des communes rurales du Burkina en collaboration avec la Fondation Konrad Adenauer, la formation a été assurée par l’expert en communication François Legonou, coordonnateur de SYDEL Afrique. Selon Jean-Baptiste Ky, président de l’Observatoire national des communes rurales, l’objectif était d’attirer l’attention des participants sur l’importance de la communication dans la gestion des communes, et de renforcer leurs capacités dans le de domaine.
Le Pays du 27 février 2008
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