L'Heure du Temps (Blog d'Information sur le Burkina Faso)

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Grincement de dents au CDP

Grincement de dents au CDP

Cher Wambi,

Nul doute que, te concernant, je prêche à un converti, mais, conjoncture économique oblige, je me fais le devoir de te rappeler que quand une pierre tombe d’en haut, il est impérieux pour chacun de protéger sa tête. Ainsi, dans cette lutte mondiale contre la flambée des prix des produits de première nécessité, le Burkina Faso semble traverser une zone de fortes turbulences. Les violentes manifestations survenues à Ouahigouya, à Bobo-Dioulasso et à Banfora le 20 février, puis à Ouagadougou le 28 février 2008 en sont l’illustration parfaite. Ventre vide n’a point d’oreille ; c’est en tout cas la seule excuse qu’on peut concéder aux casseurs et autres vandales qui se sont invités parmi les manifestants.

jeudi 13 mars 2008

La suite, tu l’as certainement déjà apprise, la justice s’est abattue sur ceux qui, non contents d’avoir manifesté illégalement ont aussi détruit des biens publics et privés.

Entre autres peines, cher cousin, je reviendrai sur celle de 36 mois d’emprisonnement ferme infligée au célèbre fétiche de Samandin, Nana Tibo pour ne point le nommer, en raison du rôle d’incitateur qu’il a joué avant de se rétracter, mais hélas.

Cette page tournée, ce sont les centrales syndicales et les syndicats autonomes qui battront le pavé ce samedi 15 mars 2008, à travers marches et meetings, contre la vie chère.

Les dernières mesures d’apaisement prises par le gouvernement sont jusque-là jugées insuffisantes et inefficaces, d’où cette ruée du "pays réel" vers les artères et autres places publiques, espérant enfin tirer les gouvernants de leur sommeil.

Le dialogue social, entamé il y a peu, ne semble pas porter les fruits espérés, à telle enseigne que l’autorité a dû abandonner la langue de Molière pour s’essayer dans celles vernaculaires par le truchement d’un point de presse animé le jeudi 13 février.

Mais, a-t-elle enfin convaincu ?

Rien n’est moins sûr. En attendant, il est à souhaiter que les marches et meetings de protestations prévus ce week-end à travers le Faso se déroulent dans les règles de l’art ; pacifiquement alors.

Cher Wambi, le problème de la gestion des listes d’attente de l’ENAM, dont je t’avais parlé dans ma lettre du 15 février dernier, refait surface. En effet, un groupe de 10 jeunes m’ont rendu visite. Visiblement en désarroi, ils m’ont dit représenter 78 candidats de la liste d’attente des concours directs de l’ENAM. 

Ces derniers attendent donc de rejoindre cette école pour remplacer leurs concurrents admis, mais qui ne s’y seraient pas présentés dans les délais. Leur espoir d’aller à ce grand temple du savoir de notre pays semble s’émousser.

Du moins, si je m’en tiens à une correspondance à eux adressée par le secrétaire général du ministère de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat, Youssouf Ouattara, en date du jeudi 13 mars 2008. En réponse à leur lettre du 17 janvier dernier, le SG du ministère dit ceci : « …Je viens par la présente vous informer que la validité d’une liste d’attente est de deux (2) mois à compter de la date de convocation des admis ou de rentrée de l’école de formation professionnelle…

La rentrée ayant eu lieu le 7 novembre 2007, une satisfaction de la requête, environ quatre (4) mois après cette date, constituerait une violation de l’article 15 du décret n° 99/103 PRES/PM/MFPDI/MEF du 29 avril 1999, portant modalités d’organisation des examens professionnels et des concours ». En attendant d’y revenir, voilà la situation à laquelle sont confrontés ces candidats.

Cher Wambi, depuis quelques semaines, je te parle régulièrement du 35e anniversaire de "l’Observateur paalga", dans le cadre duquel de nombreuses manifestations commémoratives sont prévues. Je t’ai ainsi parlé, tu t’en souviens, du premier marathon Ouaga-Laye, appelé, s’il plaît à Dieu, à être institutionnalisé ; du football atypique qui va opposer d’un côté, supporters de l’ASFA et de l’EFO, et de l’autre, majorité et opposition dans deux rencontres qui ne manqueront pas de piment ; du grand colloque sur les médias africains face à Internet, etc.

Un comité d’organisation est de ce fait à pied d’œuvre et de nombreuses correspondances ont été déjà envoyées aux multiples partenaires du journal, qu’il s’agisse d’institutions comme le Conseil supérieur de la communication (CSC), de ministères tels celui de la Défense ou de la Culture, du Tourisme et de la Communication, des ambassades accréditées au Burkina, des sociétés de la place et, bien sûr, de nos confrères.

Et déjà, cher cousin, les organisateurs enregistrent chaque jour des réactions multiformes (écrites ou orales) et multidirectionnelles, preuve s’il en est de l’engouement que suscite cette initiative. Au nombre de celles-ci, le maire de la commune de Ouagadougou, Simon Compaoré, très réactif en la circonstance ; le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba ; Me Bénéwendé Sankara, président du groupe parlementaire "Alternance - Justice et Démocratie" ;

des ambassades comme celles des Etats-Unis d’Amérique, du Danemark ; des sociétés à l’image d’Air France ; des organisations dont l’Association burkinabè pour la promotion de la parenté à plaisanterie (AB3P) ; des médias comme les "Editions Le Pays" ainsi que de nombreux autres confrères, qui nous ont assuré de leur soutien et de leur volonté de nous accompagner tout au long de cette célébration.

Visiblement donc, la mayonnaise est en train de prendre et notre Agence Conseil pour l’occasion, EDIFICE, s’attelle aussi de son côté pour que la fête soit belle. "L’Obs" et son directeur remercient d’ailleurs d’ores et déjà les uns et les autres pour leur sollicitude en attendant, de façon concrète, de voir avec eux quelle forme prendra leur participation ou leur contribution.

Voilà, cher Wambi, les dernières nouvelles des préparatifs dont je voulais te parler, en attendant de me déplacer pour échanger avec les responsables politico-administratifs de Laye et de la province du Kourwéogo sur notamment l’organisation pratique du marathon.

Etudier au Ghana ; mieux vaux prévenir que guérir ! Tel est l’intitulé de la mise en garde que ton neveu Lamoussa Constant Kyelem me charge de vous faire au village, vous, réputés envoyer vos enfants à l’aventure sans jamais vous demander à quelle sauce ils seront mangés dans leur pays d’accueil.

Etudiant en sciences politiques et président de l’Association des étudiants et stagiaires burkinabè au Ghana, il sait certainement de quoi il parle même si, j’en conviens, le paradis n’existe nulle part sur terre :

"...Entouré que de pays francophones, le Ghana reste un choix de prédilection dans le cadre de l’apprentissage de l’anglais, pour tous les étudiants de la sous-région et de l’Afrique centrale, grâce à l’originalité de son accent « Celui de la reine Elisabeth » et surtout, grâce à la paix ainsi qu’à la liberté qui y règnent.

Aussi, pour pallier la rareté des visas délivrés aux étudiants africains pour voyager hors de leur continent, le Ghana offre des possibilités d’obtenir des diplômes internationaux (américains ou britanniques), en passant les mêmes examens externes sans avoir à se déplacer.

Autant d’avantages attirant là-bas, chaque mois, un nombre pléthorique de chasseurs du savoir, cibles de certains opportunistes, qui n’hésitent pas à les utiliser, une fois sur le sol ghanéen, comme un fonds de commerce pour la prospérité de leurs business.

Ainsi, nombreux sont les parents qui, avant d’envoyer leurs rejetons au Ghana, ne prennent pas le soin de contacter l’ambassade du Burkina ou l’Association des étudiants et stagiaires burkinabé au Ghana pour d’éventuels renseignements, indispensables pour leur intégration. Et pourtant, les problèmes, il n’en manque pas !

Comment peut-on comprendre par exemple que quelqu’un qui paie son loyer pour deux ans d’avance se retrouve sans domicile ? Comment peut-on comprendre que le prix d’un quelconque produit ou service rendu soit multiplié parce qu’on est nouveau et qu’on ne parle pas anglais ?

Que des maisons vendues à deux voire à trois personnes à la fois, souvent par des frères francophones restés très longtemps au Ghana et qui font de l’escroquerie leur tremplin quotidien ?

Le plus souvent, à la signature du contrat pour le cas des maisons, l’étudiant, ne comprenant rien, ne se rend compte de certaines clauses qu’après application. (Limitation de l’utilisation de l’électricité, restriction de l’utilisation des toilettes, limitation du nombre de visiteurs, fermeture du portail à une heure donnée, obligation de balayer la cour les matins à 4 h00 quel que soit son état de santé, et bien d’autres clauses qui n’ont souvent rien à voir avec les habitudes francophones) ; tout cela, après avoir payé 50 000 F CFA de loyer par mois, avec obligation d’avance de 24 mois pour seulement une chambre.

Sans pour autant être trop alarmiste, j’aimerais attirer l’attention des parents et surtout des étudiants sur le fait que des efforts tels que la création de la mutuelle santé et bien d’autres ont été entrepris pour leur permettre d’éviter beaucoup de problèmes.

De ce fait, nous les prions de prendre toujours contact avec la section culturelle de l’Ambassade du Burkina ou de l’Association des étudiants, pour d’éventuels conseils et assistances. Pour le bien-être du Burkinabè à l’intérieur ou à l’extérieur du Burkina, restons unis".

Lamoussa Constant Kyelem,

Dans ma lettre du vendredi 29 février 2008, cher cousin, je m’inquiétais de la qualité de la cité de l’ASECNA en construction sur le boulevard France-Afrique à Simonville. Comme il fallait s’y attendre ; le collectif des syndicats de l’Aéronautique m’a fait parvenir le droit de réponse suivant, que je t’invite à lire :

"Monsieur le Directeur de publication,

Nous avons lu votre article sur la cité de l’ASECNA en construction, sise au secteur 16 de la ville de Ouagadougou et située sur le Boulevard France-Afrique sur la route de Ouaga 2000, paru dans la rubrique "une Lettre pour Laye" en date du vendredi 29 février 2008 et nous tenons à vous fournir quelques informations y relatives.

Nous vous informons que cette cité compte 61 villas finies et déjà habitées, construites par la société AZIMMO. Les "cellules" auxquelles vous faites allusion sont des dépendances de chacune des 250 villas en cours de construction. Un cahier des charges a été élaboré par la mutuelle des travailleurs et devrait être respecté par chaque travailleur pour la construction de sa villa principale ou de son duplex.

Si ces dépendances ont été privilégiées en attendant la construction des villas, c’est pour faire face diligemment aux soucis des autorités communales de la ville de Ouagadougou d’enrayer l’insécurité qui règne sur le site, en occupant l’espace et en le sécurisant par la suite par la surveillance de vigiles".

Le projet de cette cité a coûté jusque-là aux agents de l’ASECNA la bagatelle de deux (2) milliards de francs CFA, y compris 154 millions de francs versés aux services des impôts de l’Etat au titre de la taxe de jouissance.

Face à l’arrêt des travaux, une solution est en train d’être recherchée pour éviter du gâchis et d’anéantir tant de privations et de sacrifices, consentis par les travailleurs cherchant à se trouver un toit.

Les travailleurs de l’ASECNA vous invitent à vous rapprocher des responsables de la Mutuelle des Travailleurs de l’Aéronautique du Burkina (MUTAB) pour de plus amples informations. Merci de nous soutenir dans cette recherche de solution.

Pour le Collectif des syndicats :

Le C-CGTB

Tolo Sanon

Le SUMAC

Jean Bosco Yilboudo

Le SNTA

Alexandre Ouédraogo

Le SUSPAAC

Joachim O. Sama

No comment ! Souhaitons seulement avec le Collectif des syndicats de l’Aéronautique qu’une solution idoine y soit trouvée dans les meilleurs délais. Ainsi, sans plus attendre, voyons ensemble ce que contient cette semaine le carnet secret de Tipoko l’Intrigante :

 Décidément ! On croyait sonnée la fin des guerres de clans, qui minent le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Nulle échéance électorale immédiate à l’horizon et, pourtant, les nababs ne ratent jamais l’occasion de se flécher...

L’amnistie accordée dernièrement à Bernard Lédéa Ouédraogo et à Tahéré Ouédraogo, tous du Zondoma, auparavant sanctionnés pour indiscipline caractérisée, ne semble pas faire l’unanimité. Il y aurait comme de la trahison dans l’air, car une telle amnistie rimerait avec désaveu, de la main qui avait osé frapper ces deux notables du Zondoma.

Mais conjoncture nationale oblige, les protagonistes de la scène "Tuk guilli" se doivent de faire front commun pour sortir de l’ouragan "flambée" des prix. On pourra déterrer de nouveau la hache de guerre quand la quiétude sera revenue au palais de Kossyam. En attendant, on grince des dents.

 L’Eglise évangélique, toutes dénominations confondues, de notre pays en particulier le Centre international d’évangélisation (CIE) est en deuil. En effet, Sophie Karambiri née Tou (sœur de l’ancien ministre Ludovic Tou), épouse du pasteur Mamadou Philippe Karambiri, s’est éteinte le 10 mars 2008 à 22h 10 à l’hôpital Yalgado-Ouédroago.

Née le 9 février 1949 à Dédougou, cette infirmière d’Etat à la retraite depuis le 2 septembre 2007 est cofondatrice, avec son mari, du ministère du Centre international d’évangélisation, une église en pleine croissance dans notre pays, dont le siège est à Ouagadougou. Maman Karambiri, comme l’appelaient affectueusement les fidèles de son assemblée, était la Coordonnatrice du mouvement des femmes de cette dénomination.

Sa dernière apparition publique a eu lieu le 7 mars 2008 à l’occasion de l’inauguration de Rhema Media Center (RMC), dont la vision vient d’elle. Son époux avait baptisé le jour, comme par prémonition, le studio de RMC de son nom, Sophie. Maman Karambiri a été inhumée le 12 mars dans le "caveau du couple Karambiri" au siège du CIE au secteur 28 à Dassasgho en présence des personnalités du pays dont des membres du gouvernement.

 L’école primaire publique de Gaoua a eu 100 ans en 2007. Il y a donc un siècle que l’école de Gaoua a engagé la lutte contre l’ignorance sous toutes ses manifestations au sein des populations du Sud-Ouest. A la suite de l’école régionale de Gaoua, plusieurs dizaines d’autres ont vu le jour avec la même mission : combattre l’ignorance, véritable obstacle du développement social.

Cent ans après, l’ignorance est toujours présente. Un comité d’initiative d’anciens élèves de l’école de Gaoua invite les fils et les filles à commémorer les 100 ans de l’école de Gaoua les 4 et 5 avril 2008 dans un sursaut d’orgueil : prendre l’engagement de bouter l’ignorance hors du Sud-Ouest.

Ensemble, prenons l’engagement d’inscrire à l’école au moins les trois quarts de nos enfants en âge d’y aller d’ici l’horizon 2010. Cela est possible : faisons le pari de réussir le développement social au Sud-Ouest en investissant dans l’homme. Toutes et tous les 4 et 5 avril 2008 pour commémorer le centenaire de l’école de Gaoua.

Le Pr Sib Sié Faustin

Président du comité local de Ouagadougou

 Le Centre hospitalier universitaire Souro-Sanou (CHUSS) de Bobo-Dioulasso à l’heure des grandes technologies. C’est le moins que l’on puisse dire avec l’acquisition du premier scanner. Cet outil médical de pointe, en provenance d’Allemagne, doit en principe embarquer ce vendredi pour Bobo-Dioulasso, où il est attendu dimanche à l’aéroport.

Deuxième du genre, ce scanner à six barrettes sera certainement le plus performant du Burkina et viendra s’ajouter à celui de l’hôpital Yalgado de Ouagadougou, qui est à quatre barrettes. L’appareil, qui devrait être fonctionnel dès la fin de ce mois, pourrait même servir à des patients en provenance de Ouagadougou pour certains examens qu’ils n’ont pu effectuer sur place.

Un acquis inestimable pour le renforcement du plateau technique médical de notre pays et qui a été rendu possible par le ministère de la Santé, grâce au budget national. Une précision qui en vaut la peine, n’est-ce pas, Alain Yoda ? Pourvu que ce scanner soit accessible à la grande majorité des Burkinabè.

 Qui a pu ouvrir le coffre-fort du Haut-Commissariat de la province du Houet et faire main basse sur une importante somme d’argent ? Une question qui reste toujours sans réponse et qui continue d’empoisonner l’atmosphère au service.

Si, pour le moment, le mystère plane sur le montant de la somme dérobée, il reste néanmoins entendu que le coupable, qui connaîtrait bien la maison, pourrait venir de l’intérieur. Car, à ce qu’on dit, l’opération a été menée en toute tranquillité et sans la moindre effraction. Les auditions se poursuivent à la brigade de recherches de gendarmerie de Bobo-Dioulasso, qui a été saisie de l’affaire.

 Quatre agents municipaux ont attrait en justice la mairie de Banfora pour les avoir contraints à la retraite avant la date légale. Arguant du décret présidentiel pris en 2003 et portant sur l’augmentation de l’âge du départ à la retraite, le comptable, l’agent de bureau et les deux manœuvres contestent la décision mettant fin à leur carrière à partir du 31 décembre 2007.

Ils proposent comme alternative au règlement judiciaire le paiement, par l’administration communale, d’une indemnité financière équivalant au salaire du nombre d’années de service qui restait à chacun. En attendant l’ouverture du procès, dont la date n’était encore pas fixée, le différentes parties ont été entendues la semaine dernière par le juge. Affaire à suivre.

 Monseigneur Denis Tapsoba, évêque émérite du diocèse de Ouahigouya, est décédé hier jeudi en début d’après-midi à son domicile de Gounghin (Ouagadougou). Le prélat, âgé de 92 ans, vivait depuis plusieurs années dans la capitale. On le savait malade, et l’âge y était pour quelque chose. A sa famille, éplorée, nous présentons nos condoléances les plus attristées.

 Pour tous les bienfaits reçus au cours de l’année écoulée, Naaba Sanem, responsable coutumier de Kamsaoghin, secteur 6 de Ouagadougou, t’invite à te joindre à lui pour louer le Seigneur et les mânes des ancêtres à la faveur de sa fête coutumière ou basga, qui sera célébrée ce samedi 15 mars 2008. Nul doute que tu ne te feras pas prier pour être de ce rendez-vous culturel avec ce ministre du Moog Naaba Baogho.

Tipoko l’Intrigante n’apprend rien d’elle-même, elle n’invente jamais rien. Tipoko l’Intrigante est un non-être. Elle n’est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l’intuition c’est la faculté qu’a une femme d’être sûre d’une chose sans en avoir la certitude..."

Ainsi va la vie.

Au revoir.

Ton cousin

Passek Taalé

L’Observateur Paalga du 14 mars 2008



14/03/2008
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