Pneus brûlés sur la voie publique : Des conséquences à terme
Pneus brûlés sur la voie publique
Des conséquences à terme
C’est une antienne chantée très souvent par bien des habitants de la capitale : Ouagadougou n’a pas de goudron. En d’autres termes, les routes bitumées y font défaut, et c’est l’extrême dans les autres villes. Tant et si bien qu’emprunter certaines voies à Ouagadougou comme ailleurs, relève toujours du parcours du combattant, aussi bien en saison sèche qu’en saison pluvieuse. En saison pluvieuse en effet, quand on n’a pas affaire à la boue et aux nombreuses flaques d’eau qui ôtent franchement toute envie de sortir, c’est à une impressionnante nappe de poussière qu’on doit constamment faire face sur certaines voies, quand la pluie a été absente pendant quelques jours. Si toutes ces misères sont pour les usagers des deux-roues, pour les automobilistes, c’est toujours la peur du garage qui anime ceux qui ont la malchance d’emprunter au quotidien des voies où se succèdent nids-de-poule, dos d’ânes, etc., véritables dangers pour la bonne santé des véhicules. Heureusement, en matière d’infrastructures routières, le Burkina se réveille. Le Pays des hommes intègres n’est pas
Cheick Beldh’or SIGUE
Le Pays du 1er avril 2008
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