350 000 candidats attendus aux concours de la Fonction publique
Concours directs de
350 000 candidats attendus
Point de presse du gouvernement ce vendredi 13 juin dernier à Ouagadougou. Actualité oblige, les ministres Joseph Paré, Marie Odile Bonkoungou et Seydou Bouda, respectivement en charge des Enseignements secondaire, supérieur et de
Le point de presse du vendredi 13 juin 2008 inaugure toute une série qui sera organisée au cours de cette semaine. Ces points de presse sectoriels, comme les a nommés le ministre en charge de
Pour ce qui est des examens (BEPC, BEP, CEP) de cette année, les deux ministres de l'Education, Joseph Paré et Marie Odile Bonkoungou, ont félicité les différents acteurs pour leur bon déroulement. A les entendre, la fraude a été circonscrite cette année. Seulement, des individus peu scrupuleux ont vendu de faux sujets.
A Fada et à Ouaga, notamment, des gens sont tombés dans le piège. Le ministre Joseph Paré a relevé que de petites erreurs avaient été constatées sur certains sujets du BEP mais elles ont été vite corrigées, ce qui n'a pas eu de conséquence fâcheuse sur cet examen. La question du Certificat d'études primaires (CEP) est revenue sur le tapis. Les sujets, que des parents ont trouvé difficiles, étaient-ils dans le programme ? s'est interrogé un confrère. Affirmatif, a martelé le ministre de l'Enseignement de base et de l'Alphabétisation, Marie Odile Bonkoungou.
Selon elle, le drapeau national est un élément du cours d'éducation civique et morale, qui est une discipline d'accueil de l'histoire-géographie. Mieux, les sujets sont généralement proposés par des enseignants et vérifiés par les encadreurs pédagogiques. Marie Odile Bonkoungou, pour finir avec les préoccupations du département qu'elle dirige, est revenue sur les indemnités des classes multigrades en précisant que le retard de paiement était souvent dû aux erreurs sur les listes des enseignants bénéficiaires. Et d'ajouter que ce sont des situations entretenues. "La solution du problème, c'est la normalisation des salles de classe", a-t-elle conclu, en demandant aux enseignants de prendre leur mal en patience.
La situation à l'université n'est pas catastrophique
Pour ce qui est de la situation à l'université, le ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de
350 000 candidats pour les concours directs
Enfin, le ministre de
Pour lui, l'initiative de l'évaluation est toujours de l'employeur, donc l'Etat est dans son droit. C'est pour rendre le système plus objectif que les avancements automatiques sont arrêtés depuis 2005. "Ce n'est pas une fierté que les travailleurs avancent sans mérite", a déclaré le ministre en charge de
Par Dayang-ne-Wendé P. SILGA
Le Pays du 16 juin 2008
A découvrir aussi
- Faso foot 2007 : Saison blanche pour l’ASFA-Y
- Conseil constitutionnel : Albert Dé Millogo s'installe
- La jeunesse de Toussiana s’est bien amusée
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 1021 autres membres