Guerre contre la vie chère à Bobo : "Des blessés, mais pas de mort"
Guerre contre la vie chère à Bobo
"Des blessés, mais pas de mort"
Les manifestants contre la vie chère à Bobo Dioulasso ont poursuivi le 21 février 2008 leur mouvement. Comme la veille, l’on a encore enregistré des casses et des destructions de biens publics, dont une jeep de la gendarmerie. C’est dans ces conditions qu’une délégation gouvernementale forte de 3 membres conduite par le ministre Clément P. Sawadogo de l’Administration et de
La journée du 21 février dernier à Bobo Dioulasso a débuté comme a commencé celle de la veille avec des manifestations de commerçants de la ville contre la vie chère dans le pays. Vers 9 h, les manifestants ont repris la rue aux abords du marché central, scandant : "Libérez, libérez !" Ils exigeaient en fait la libération de leurs camarades arrêtés la veille. Chargés à plusieurs reprises par les forces de l’ordre à coups de gaz lacrymogènes, ils disparaissent et réapparaissent. Vers 12 h 30, les grévistes se dirigent vers l’autogare, au secteur 21, où ils brûleront des pneus sur la chaussée. Délogés de là, ils se déportent sur le boulevard de
C’est dans ces conditions que le ministre de l’Administration territoriale et de
Grégoire Bazomboué BAZIE
Le Pays du 22 février 2008
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