L'Heure du Temps (Blog d'Information sur le Burkina Faso)

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Rigueur dans la sélection nationale

Point de vue

Rigueur dans la sélection nationale

 

Après la mise en place d'un Comité transitoire, les suggestions ne manquent pas pour que les choses aillent dans le bon sens.

Dans cet écrit, l'auteur revient sur le mode de recrutement des entraîneurs et les pénalités à infliger aux joueurs et encadreurs.

 

L'écrit présent est relatif à l'avenir de notre football. Il contient de nombreuses suggestions au vu de certains faits qui minent la bonne marche de notre sport-roi. Les faits les plus palpables sont le mode de recrutement des entraîneurs, la manière de les gérer ou de les remercier (limoger). Le plus souvent, certaines décisions sont prises en l'occurrence la rupture des contrats avant terme. Ce qui occasionne un gaspillage et une dilapidation de nos maigres ressources allouées à la fédération par le budget national. Puisqu'il faut coûte que coûte dédommager les intéressés. Il est très important donc de ne pas laisser la fédération, seule, traîner dans la boue. Ses différentes actions doivent être menées de concert avec le ministère des Sports et celui des Finances. Aussi, des mesures rigoureuses de discipline doivent être mises en place. Quiconque viendrait à commettre des malversations au préjudice de la structure devrait, tout comme un joueur fautif lors des matchs, faire l'objet de sanction sans complaisance et selon les textes.

- laissons à la guise de l'entraîneur la sélection des joueurs, car il est censé  les connaître mieux ;

- pour les primes, il convient en cas de victoire : qu'encadreurs et joueurs jouissent des sommes qui leur sont dévolues ; en cas de match nul : seulement 1/3 desdites sommes leur reviendrait et en cas de défaite : une pénalité devrait être infligée  à chacun :  le remboursement de l'équivalent de la prime qui lui était allouée. Ainsi, il y aurait rigueur et sérénité au sein de notre fédération et de la sélection nationale ;

- et alors la victoire serait notre affaire.

 

Issa Samandoulougou

L’Observateur Paalga du 17 août 2007



17/08/2007
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